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T’est-il déjà arrivé de te sentir mal à l’idée de passer plusieurs heures, plusieurs jours sans ton téléphone ? Avec la peur de manquer quelque chose ? Alors tu expérimentes le symptôme “FOMO”.
Le FOMO, c’est la peur de manquer quelque chose. Ce terme a été inventé par Patrick James McGinnis, un capital-risqueur et auteur américain.
Ce phénomène se caractérise par la peur de manquer une information, une interaction, une expérience, etc. C’est un état de stress et d’anxiété, causé par l’addiction aux smartphones / aux réseaux sociaux, à Internet et l’hyper-connexion en général. On parle aussi de “nomophobie”, aka la peur d’être séparé de son téléphone portable.
Tu te reconnais peut-être dans les prochains points :
Et ce n’est qu’une petite partie. Si tu souhaites en savoir plus, je t’invite à te renseigner sur le sujet et à consulter un professionnel de la psychologie.
Si tu te reconnais dans un des points, tu es très certainement concerné(e) par le FOMO. Mais tu peux inverser la tendance en tendant vers le JOMO.
Le JOMO, c’est la joie de manquer quelque chose. En inversant la tendance, tu inverses aussi ton anxiété. C’est le fait de prendre conscience que tu ne peux pas tout voir, tout entendre, être informé(e) de tout. Et ce n’est pas grave.
Inventé par Anil Dash, blogueur et entrepreneur technologique américain, le JOMO prône une philosophie de vie proche du slow life. En gros, c’est le fait de volontairement vouloir t’éloigner de ce fourmillement incessant d’Internet, de l’hyper-connectivité. C’est prendre du plaisir à vivre la vraie vie.
Quand on est atteint d’anxiété digitale, la première étape c’est de s’en rendre compte et de l’accepter. C’est primordial que tu reconnaisses que tu es addict à ton smartphone. Il n’y a rien d’honteux à l’avouer.
Réfléchis aux activités qui te font du bien et qui t’aident à déconnecter. Une sortie entre amis ou en famille ? Un film au cinéma ? Du sport ? Une promenade solo ou avec ton animal ? La lecture ?
Force-toi à t’éloigner de ton téléphone et d’Internet. Oublie-le volontairement lors de sorties à l’extérieur.
Progressivement, tu arriveras à faire des activités uniquement avec toi-même, sans écran : le journaling, le coloriage, la méditation, …
Pour te forcer à déconnecter, il existe des applications limiteurs de temps d’écran ou pour verrouiller certaines applications au-delà d’un temps d’utilisation. Je pense notamment à OffTime, dont je t’ai parlé sur Instagram.
Si tu n’arrives pas à te séparer de ton téléphone et d’Internet, même progressivement, alors je te conseille de te faire aider. Il n’y a aucune honte, puisque le but c’est de préserver ta santé mentale et d’être heureux/se. Crois-moi, tu en sortiras plus épanoui(e) 💫
Tu es adepte, toi, des détox digitales ? On en discute en commentaire ou sur mon compte Instagram !
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